Le séparation des mémoires interdit

Les profondeurs de la cité souterraine s’étendaient marqué par les pas de Kael, un explorateur dont l’obsession pour les lieux oubliés l’avait conduit jusqu’à cet position. La roche lisse de certaines murs témoignait d’un passé enfoui depuis très longtemps, et pourtant, aucune indice d’effondrement ou d’érosion ne marquait la constitution. La cité semblait figée dans un carrure d'entretien presque irréel, comme si elle avait été laissée en suspens, attendant le résultat d’un visiteur. Alors qu’il avançait à travers les cavités, son regard s’arrêta sur une colossale porte scellée par un mécanisme difficile. Sur la joyau lisse, de certaines encoches circulaires dessinaient une étrange groupe. Aucun levier, aucune poignée ne permettait de la pousser. Kael savait que pour vivre, il lui est utile de piger le croyant de ces villes. Depuis de quelques époques, il s’intéressait à la voyance gratuite sans inscription, persuadé que certaines cultures avaient laissé de certaines énigmes sur leur savoir via les âges. Dans cette grande ville enfouie, il ressentait un référencement inexplicable, une envie qui semblait flotter dans l’air. Il ferma les yeux un moment, enviable de se concentrer sur les idéogrammes taillés sur la porte. Lorsqu’il rouvrit les paupières, une jour étrange attira son circonspection. Au pied de la paroi, impénétrable sous la poussière, une clef de pierre se distinguait à péril du sol rocailleux. Kael la ramassa délicatement et observa les motifs réalisés sur son manche : de certaines spirales entremêlées, semblables aux emblèmes qu’il avait aperçus plus tôt sur les murs de l’entrée. Dès qu’il approcha la clef du mécanisme, une brise invisible s’éleva qui entourent lui. Le métal ancien de la serrure réagit, et un revenant ténu se fit entendre, comme un murmure à danger perceptible. La voyance gratuite enseignait que les lieux chargés d’histoire pouvaient quelquefois compter les échos du passé. Mais ici, Kael ne pouvait s’empêcher de se tâter sur si ce passé était effectivement révolu. La porte s’ouvrit mollement dans un grondement sourd, dévoilant un couloir noyer qui s’enfonçait plus colossalement une nouvelle fois la ville. Kael resserra sa butin sur la clef et fit un pas en avant. Ce qu’il découvrirait postérieur ces murs semble pouvoir bien retransmettre évoquées tout ce qu’il croyait nous guider sur les siècles et la rappel de certaines régions oubliés.

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